L'ILLUSION DE LA SéLECTION

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Dans l’atelier de reliure, la eclat tremblante des chandelles faisait danser des ombres sur les murs de pierre. L’odeur du cuir tanné et de l’encre fraîche flottait dans l’air, imprégnant tout recoin du petit fabrique romain où le relieur travaillait chaque jour avec une rigueur presque à avoir. Il n’avait jamais refusé un article à restaurer, quels que soient son rang ou son contenu. Mais celui qu’il avait salué ce matin-là était différent. Un manuscrit sans épitaphe, couvert d’un cuir noirci par le temps. Aucune inscription, zéro marque d’auteur. Et entre autres, des lignes vierges. Il avait d’abord pensé qu’il s’agissait d’un riche carnet oublié, destiné à représenter empli de prières ou de annotations humaines. Pourtant, lorsqu’il avait ouvert l’ouvrage, il avait eu l’étrange conscience qu’il n’était pas en plus vide qu’il en avait l’air. La nuit tomba sur Rome. Dans l’atelier silencieux, le relieur éteignit ses bougies, prêt à bien se formuler autrement. Mais dans le cas ou l’aube pointa, quelque chose avait changé. Les lignes du offre n’étaient plus vierges. À l’encre black, des répliques étaient apparues, tracées avec une formulation raffinée et sinueuse. Elles formaient des récits courts, des fragments de tenue qui n’avaient pas compté là la veille. Il parcourut les lignes avec une variété de atour et d’inquiétude. Ces fictions n’étaient pas des légendes, ni des poèmes. Elles parlaient de gens justes, de citoyens de Rome dont la destinée semblait s’écrire sans leur acquiescement. Il reconnut certaines personnes noms. Des marchands, des créateurs, des seigneurs. Tous avaient ensemble un détail glaçant : leur délicat était généreusement ténébreux. Le relieur referma violemment le présente, le âme court. Il pensa alors à bien la voyance Olivier, ces voyants appréciés pour leur possibilité à quitter les mystères des âmes et à révéler ce qui se cache derrière les astres du destin. Un tel trésor pouvait-il sembler affirmé par un sens anonyme ? Était-il en train de interpréter mentionnés l’avenir… ou d’assister à une libellé fatale, une prophétie qu’il ne pouvait plus ignorer ? Et surtout, s’il tournait les lignes suivantes, allait-il y comprendre votre propre désignation exprimé parmi les discordantes ?

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